Actu nautique.com du 13 mars 2014 nous informe d’une détresse de voilier suite à un incendie. La vitesse de propagation du feu impose une réaction rapide dés le départ du feu. Les pompiers ont l’habitude de dire que pour éteindre un incendie, il faut un verre la première minute, un seau la deuxième minute, et une tonne d’eau d’eau à la troisième minute.
Sur nos voiliers, si la lutte contre l’incendie est trop tardive, il est donc souvent nécessaire d’envisager un abandon de navire. Il est donc indispensable que
- le drome de sauvetage soit le plus accessible possible,
- de connaitre les procédures de déclenchement des secours des MRCC, et de maintenir à jour les données de l’agence nationale des fréquences.
- et prendre dans la mesure du possible un téléphone satellite pour vérifier que la terre ait bien reçu l’alerte de détresse.
Des détails que les plaisanciers cités dans l’article semblaient maitriser, heureusement pour eux.
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